​​

Les grandes villes doivent avoir des moyens de transport perfectionnées pour permettre leur population de se déplacer en peu de temps et relier leurs points stratégiques. Les transports dans la ville de La Paz cherchent depuis les années 1970 à se moderniser avec le premier projet d’un téléphérique entre les villes de La Paz et d’El Alto pendant la campagne du maire Mario Mercado Vaca-Guzman, mais le coût élevé à empêché ce projet d’être réalisé.  D’autres moyens de transport ce sont mis en place comme les bus, qui apparaissent dans les années 1940 ou les  minibus,  mis en place à partir de 1989 et qui ont était les principaux moyens de transport jusqu'à 2014 ou le transport à la ville de La Paz a connût une transformation importante avec la mise en place du téléphérique et le bus Puma Katari. Ces deux projets sont une initiative du gouvernement et de la mairie respectivement, et cherchent à changer la vie des citoyens avec des moyens de transport qui sont plus confortable et rapides.

 

Le transport public dans la ville de La Paz commence en 1908, avec des carrosses qui partaient du quartier de  San Jorge et Challapampa. Ce moyen de transport,  n’était pas très efficace à cause que c’était trop lent et il transportait peu de personnes. Par contre, à cette époque, la ville était très petite puisque la plus grande partie des personnes vivait encore dans la campagne. Par conséquence, la ville n’avait pas besoin d’un moyen de transport massif.

 

En 1909, il y avait de plus en plus de personnes qui laissent la campagne pour s’installer en ville, ceci a comme conséquence l’apparition de premiers trams, un moyen de transport plus rapide et qui pouvait transporter plus des personnes. Ce moyen de transport est utilisé jusqu'à 1940, et il disparaît progressivement avec l’apparition des premiers bus.

 

Ceci reliait trois zones de la ville : Obrajes, Miraflores et Sopocachi (le centre et le sud de la ville). Les bus remplacent les trams puisque ils pouvaient relier le centre et le sud de la ville, par contre les trams étaient présents seulement au centre de la ville. En plus, ils ont une capacité supérieure aux trams de transporter jusqu'à a peu près 40 personnes.

 

A partir des années  1967 avec la croissance démographique et l’exode rural, est mis en place un service plus rapide comme le trufi mais qui pouvait transporter seulement cinq personnes, par contre ce moyen de transport  à une importance majeure jusqu'à nos jours à cause de sa rapidité mais aussi à cause de qu’ils arrivaient jusqu’aux coins de la ville où les autres moyens de transport n’arrivaient pas comme par exemple à San Miguel et ils allaient aussi jusqu’au centre de la ville.

 

En 1985, la fermeture des plusieurs mines laisse sans travaille a une grand partie de la population qui doit chercher un nouveau travail ou métier, par conséquence beaucoup de chômeurs commencent à travailler dans le transport public. En 1986 se met en place, comme service alternatif les radiotaxis, un service plus confortable puisqu’ils n’ont pas une route fixe, et ils peuvent transporter jusqu'à cinq personnes, mais qui n’est pas un transport accessible à cause de son prix élevé.

 

Enfin, dans les années 1990, apparait la première ligne des minibus, que tout de suite vont avoir un succès important puisqu'ils pouvaient transporter jusqu'à 15 passagers, le prix était accessible et il reliait presque touts les coins de la ville,  ce qui explique aussi que jusqu'à nos jours c’est le premier moyen de transport utilisé dans la ville de La Paz.

         

Les routes de la ville qui étaient étroites car ils étaient conçues pour les carrosses et les transports coloniaux, commencent à avoir un trafic important par les nombreux automobiles arrivés à la ville qui sont dédiés aux transports de la population. Par conséquence en 1997 est mis en place la première planification de trafic et transports. Cette mesure est pris par l’état pour améliorer le trafic chaotique dans la ville de La Paz causé principalement par le transport public et par la négligence de ses chauffeurs, mais le transport public va continuer à être un problème.